• 915

    J'approchais de mes 16 ans et je lui avais donné mes fesses uniquement pour emmerder sa pute de mère qui m'avait giflé quelques années auparavant je suis restée avec C pendant un long mois le cotoyant chaque jour perçant ses boutons d'acnée le cajolant lui suçant la bite en lui donnant mes doigts fins qu'il têtait comme un nouveau né avant de jouir sur mon visage un mois de sacrifice à me coltiner ce rebus à l'inséminer de mots choisis avec soin pour une manipulation psychologique parfaite jusqu'au jouissif GO AWAY MY BOY

    Ensuite C a vécu sa mauvaise période

    Maman a enterré son petit 8 ans plus tard crash contre un platane sous l'emprise de l'alcool

    Je préfère le terme sous mon emprise

    Je suis susceptible


  • 914

    Marcel nous avait convoqué dans l'étable à 16H tapante j'vé vous montré ce ksè la vie moi en théorie rien ne laissait supposer que de ce taré pourrait surgir une démonstration un happening philosophique une recette de cuisine ou quoi que ce soit de logique et cohérent nous étions quatre enfants de 8 ans camarades de classe au village du trou du cul du monde dans lequel le Marcel incarnait à la perfection le rôle du dégénéré issue d'une lignée de spermatozoïdes déficients une poutre au sol nous servait de banc et notre attention était fixée sur les dents cariées de l'orateur juché sur une botte de paille il tenait un seau cabossé et une pomme dans la main gauche rgardé jva vous montré chaque mot expulsé de sa bouche faisandée provoquait un mélange de crainte et de joie qui rendait nos ventres douloureux jvai vous montrer la vré vérité le Marcel plaça donc sa mâchoire sur le fruit et en cisailla un bon morceau qu'il avala d'un trait nous étions surpris par la banalité d'un tel acte mais pour lessiver notre déception la main du débile plongea ensuite dans le seau et en extirpa un rat mort en phase de décomposition l'odeur cingla nos narines juvéniles et mes camarades hurlant de dégoût et de peur cavalèrent immédiatement hors de la grange pour rejoindre un refuge inconnu quant à moi je restais immobile le regard fixé sur les yeux du Marcel qui me scrutaient étrangement t'es pas peur toi jé pas fini jetant le seau et le rat non loin de moi il s'affaira ensuite sur son pantalon qui descendit sur ses mollets poilus puis relevant sa chemise crasseuse il me dévoila son sexe en pleine bandaison le gland rouge comme une cerise juteuse et hurlant d'un rire grognement il éructa t'vois ptite salope c'est ça la vie


  • 913

    Maman Tonton t'a fait mal cette nuit

    Non

    Tu criais j'ai entendu

    Tu comprendras plus tard


  • 912

    Le destin macabre de chaque individu est un fertilisant d'imaginaire réflexion création administré à grands coups de pompes dans le cul avec une éventuelle bénédiction de la World Dream Company


  • 911

    Vous aimeriez faire quoi mademoiselle

    M'occuper du genre humain

    Ah soigner les plaies

    D'un geste parfait